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Fenêtre

Du ciel à la mer
Du rivage à l’orée
Et d’arbre en arbre
Dans la forêt ancienne
D’animaux interdits
De ruisseaux baignant les mousses
Jusqu’à la clairière
La maison aux yeux plissés
Par lesquels on t’aperçoit
Tisser le ciel de tout cela

Publié dansPoèmes à la première femme

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