C’est la force d’une île
Quand la plage se sait sable
Offerte sous le ciel friable
De s’avouer fragile
Plus une mer ne saurait alors la noyer
Et le calme d’y marcher
Immortel inconnu
Attendant que la beauté frappe
Nuque et talon nus
Son sceau d’appartenance
Et qu’à nouveau résonne
Dans les plis du silence
Tout ce qui était tu
Jusqu’à toi
Ce sens ténu
Dont le monde frissonne
Île
Publié dansPoèmes à la première femme
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