Voir le train où ça s’efface
en toute transparence
ni l’ombre d’une trace
ni traînée d’essence
Dont on ne sait plus le billet
La fenêtre, le quai ou la gare
Quel tunnel l’avalait
Quelle montagne il s’égare
Et sortira au jour ébloui
Comme un reflet sous l’éboulis
Train
Publié dansPoésie de la base
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