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Prisme

Au trou d’épingle du monde
Il y a si peu dans les plis à saisir
d’amour sous les pierres, à fuir
parmi les rais noirs de l’onde…

Quand à ton prisme seulement
s’irisent les couleurs du dieu blanc,
je sens mon homme naître dans mon enfant

Publié dansPoèmes à la première femme

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