Le vase étrangle la fleur
Comme deux mains sèches
Sur un cou de couleur
Et tout ce qui rêvait du ciel
Du haut barreau des longues échelles
Retourne à la terre lourde de labours
Où l’on forme les vases
Pour y pousser l’amour
Vase
Publié dansPoésie de la base
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