Je t’ai vue dans ce monde à résoudre
Toi qui déchirais le ciel
Du bleu pur au tungstène
Par un grand trait de foudre
Je t’ai vue soigner des déserts
Dans tes foulées de bois
Faire sourdre la mer
Du poisson dans ta voix
J’ai vu ce que toute créature
Perdue dans son église
Les yeux contre le mur
De la terre promise
Appelle de sa foi :
Rentrer dans tes pas
Foulée
Publié dansPoèmes à la première femme
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