La lumière passée aux fentes
Un rai noir un rai blanc
Zèbre métronome
Comme la fenêtre d’un train de nuit
Au murmure du rail monotone
Tes pas qui s’éloignent, porte close,
Et remontent l’escalier comme une couverture
Il faudra bien que je me lève
Et retrouve mon vêtement douloureux
Pour aller dehors où tout se passe
Et poursuivre et finir
Dedans
Publié dansPoésie de la base
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