Je planterai des arbres sur le son des graviers
De ces feuilles qui frissonnent dans la fraîcheur du soir
Marcherai jusqu’au murmure de la fête
Dans mon dos sous sa tente bruyante
Comme un phare de bruit
Des fois que l’on se perde au silence
Qui s’égare dans la nuit
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Publié dansPoésie de la base
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