J’ai pris l’hiver sur le champ
Dans mes poumons de fièvre
Comme deux chiens le poil suant
Qui jappent, halètent et grognent
A chaque foulée vers la maison tardive
Où les hommes, en réchauffant leurs mains,
Se demandent si je rentrerai
Cette fois encore
Chasse
Publié dansPoésie de la base
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